Si on s'est quittés, c'était pour mieux se retrouver (PV Marc et Kyoko)

La jeune femme se promenait prêt du port. Après avoir passé trois jours à s'entrainé avec Peter, la demoiselle avait besoin de se promener un peu. Ses pas l'avaient inconsciamment emmenée jusqu'à cet endroit insolite. Aujourd'hui, il faisait beau, chaud et une petite brise agréable venait faire voler les cheveux libres de la jeune femme et sa robe qu'elle avait troquée contre le kimono bleu ciel d'entrainement. Au bout d'un moment, elle se dit qu'elle avait assez marché alors, elle s'assit sur une bite d'ammarage.

*Les jours passent, mais je n'arrive pas à me débarasser de ton visage, car il hante mes pensées. Quand Kyoko m'a dit que tu me cherchais, je n'y ais pas cru, mais maintenant j'y crois. Si je suis venue ici, ce n'est pas par coincidence*

Pensa la jeune femme en regardant devant elle. La mer était belle et n'avait pas l'air trop polluée. La miss tourna la tête pour regarder à droite et elle pu y voir une grande maison qui était assez belle et qui était construite prêt de la mer, mais pas trop prêt, pour qu'elle ne se fasse pas engloutir si jamais il y aurait un ras-de-marée ou un tsunami

*Je me demande si tout est comme avant*

Pensa encore fois la jeune femme. Puis, elle se perdit dans ses pensées en ayant l'air songeuse. Elle ne savait pas que quelqu'un qu'elle connaissait bien allait bientôt la rejoindre

Marc arriva quelques minutes plus tard. Il avait fait assez de mal aux personnes innocentes et il avait envie de se ressourcer un peu dans ce port qui l'avait vu naître. Il se mit à marcher tranquillement et tout d'un coup, il cru qu'il rêvait. Il se pinca et il eut mal. Marc était content d'avoir eut mal et d'être sur et certain que ce n'était pas une hallucination ou un rêve. Son coeur se mit à battre à cent à l'heure. Il se sentait flotter sur un petit nuage et il avait l'impression que des ailes noires lui poussaient.

Il avait envie de l'embrasser et il la trouvait belle. D'ailleurs, Cécilia n'avait pas changé, elle était toujours aussi jolie que le premier jour où ils s'étaient rencontrés. Il s'approcha alors lentement de sa reine, mais il avait du mal, car il était tout excité. Arrivé à bon port, sans trop ce casser la figure, car il était trop heureux pour voir où il marchait et de toute façon, cela n'avait pas d'importance qu'il arrive ammoché ou pas, cela ne changerait rien à la situation.

Enfin bref, il mit sa main sur l'épaule de la demoiselle et il fit apparaître un petit bouquet de rose en ayant oublié que Kyoko devait arriver tout soudainement, car ils étaient parti ensemble.

"Bonjours belle princesse, vous ais-je manqué ? Veuillez acceptez ces modestes fleures"

Il lui tendit alors le bouquet et ne pouvant se retenir, avec la main qu'il avait sur l'épaule de la demoiselle, il la remonta vers le cou de la jeune femme et il ne pu s'empêcher de l'obliger à l'embrasser. Il retira ensuite son bras et il lui sourit

"Excuse-moi, je n'ai pas pu me retenir. Ne t'en fais pas, j'ai changé, je ne suis plus le même"

Il la regarda, mais il était quand même inquiet. Qu'allais pensé Kyoko si elle avait vu la scène ? Il ne le savait pas en tout cas, il allait devoir la présenter à Cécilia et il avait un peu peur, car il ne savait pas comment sa princesse allait réagir, car elle était assez imprévisible

Comme prévu, Kyoko arriva quelques secondes plus tard, elle vit alors Cécilia et Marc ensemble, le peu de conscience humaine qu'il lui restait l'aurait poussé à partir, mais cette conscience humaine était engloutit sous des flots de haine et de mépris. Doucement elle s'approcha des deux personnes, n'aimant pas les entrée en scène classique, Kyoko fit apparaître une brise dont on pouvait sentir l'aura maléfique comme pour montrer sa présence. Elle fit encore quelques pas jusqu'à être vraiment proche de Cécilia et Marc pour enfin ouvrir la bouche en s'adressant à Marc.

"Désolé de vous dérangez très cher, mais vous devriez avoir honte de vous comportez ainsi alors que vous attendiez quelqu'un."

Le ton employé par Kyoko était ironique, d'ailleurs elle se surprit elle-même lorsqu'elle remarqua avoir fait de l'ironie, cela l'agaça et elle tourna alors le dos à Cécilia et Marc comme pour se venger de n'avoir sû dire autre chose, ne sachant trop comment se rattraper, elle ne prit que quelques autres secondes pour se décider à tout de même leur faire face, mais cette fois-ci c'est à Cécilia qu'elle s'adressa.

"Et bien et bien, comment se fait-il que la jeune et belle princesse protégé par le beau et valeureux Peter soit là et non plus en larmes en voyant le corps de ses amies?"

Cette fois-ci on pouvait reconnaître Kyoko, cruelle et sadique, se jouant des sentiments des autres et les utilisant à de mauvaises fins, mais après tout, comment aurait-elle pu parler à Cécilia autrement qu'ainsi alors que la seule fois qu'elle lui a parlé elle était dans un état d'esprit particulièrement sadique?

Cécilia faillit faire une crise cardiaque en entendant la voix de son interlocuteur. Ce dernier lui offrit des roses blanches, comme elle les aimaient. Sans qu'elle ne puisse rien dire, il lui prit le cou et la forca à l'embrasser. Lorsqu'il la lâcha, Cécilia eut des yeux ronds d'étonnements. Quand elle eut reprit ses esprits, elle se leva et donna une claque à Marc et ensuite, elle se réassit, car de toute façon, elle savait à quoi s'attendre avec lui et s'enfuir était inutile

"Espèce d'imbécile ! Je te croyais mort et tu reviens comme ça ! Et tu crois que je vais te pardonner en m'offrant mes roses préférées ? Tu n'es qu'un sale type !!!!"

Ne pu s'empêcher de crier la demoiselle en ayant pu se contrôler. Elle respira un grand coup et ensuite, Kyoko apparut

"Tu... tu attendais cette femme ? Vous êtes ensemble ? Ah c'est beau l'amour ! Je te croyais mort et voilà que je te retrouve avec cette meurtrière !"

La jeune femme croisa ses bras et elle détourna la tête en fermant ses yeux. Elle du quand même les réouvrirent lorsque cette sorcière de Kyoko se mit à lui parler

"Je me suis entraînée avec le beau et valeureux Peter. Je n'avais plus rien à faire et je crois qu'inconsciamment, je suis revenue ici"

Répondit la miss en baissant la tête et en soupirant légèrement en tenant le bouquet dans ses mains pour qu'il ne tombe pas par terre ou à l'eau

Marc s'attendait à tout, sauf à ce recevoir une claque. Il eut le même regard étonné que Cécilia et il se tint la joue

"Et bien, je vois que ton entrainement à porté ses fruits ! Tu frappes encore plus fort qu'avant !"

Il lui sourit puis, Kyoko apparut. Il s'approcha alors de Kyoko et il la présenta

"Je te présente Kyoko, c'est ma copine"

Il se rendit compte alors qu'il avait fait une bourde en entendant sa chérie râler et avoir un air indigné qui la rendait encore plus jolie

"Nan mais t'en fais pas ! Quand je dis copine ça veux dire. Camarade, alliée et etc et etc"

Marc se senti gêné et il essayait de se rettraper autant qu'il le pouvait

"Avec elle, j'ai torturé Yuna..."

Il mit sa main devant sa bouche et il du encore se rattrapé

"Non, je voulais dire, j'ai rencontré Yuna ! C'était avant qu'elle s'en occupe, je ne lui ais rien fait, ne t'en fais pas. Comme tu le sais, je suis un gentil eh eh eh"

Le jeune vieux ne pu s'empêcher d'agiter ses main et de soupirer en se sentant vraiment bête face à cette demoiselle qu'il aimait beaucoup. En plus, cela ce voyait qu'il était fou d'elle, car sinon, il aurait déjà enfoncé le couteau dans la plaie en disant qu'il avait torturé Yuna en ayant bien rit de la voir un peu mutilée

Kyoko lança un regard noir à Cécilia lorsque celle-ci la traita de meurtrière et elle ne pû s'empêcher de répliquer immédiatement.

"Si je suis une meurtrière, j'aimerais savoir ce que le monde puisque c'est de sa faute si je suis ainsi! Plutôt que de me traiter simplement d'assassin demandes-toi pourquoi j'en suis un! C'est pour ça que je les haïs tous, aucun ne cherchent à connaître la vérité..."

Kyoko n'ajouta rien d'autres, laissant alors Marc la présenter, celle-ci le rectifia.

"Je ne sais pas si je peux te considérer comme ami, mais tu ne m'es pas hostile."

Kyoko assista ensuite aux bourdes répéter de Marc qui ne semblait pas vraiment à l'aise face à la jeune fille, et contrairement à Kyoko il semblait avoir garder ses sentiments humains. N'ayant pas spécialement envie de le voir s'enfoncer plus tellement il devenait ridicule, elle se décida à lui sauver la mise, pour cette fois.

"On s'est rencontré alors que j'allais achever Rydia et Yuna, il n'a rien fait parce que je les avais isolé dans un cercle magique où il ne pouvait pas accéder. Il m'a ensuite posé des questions sur les deux cadavres et puis on a...discuter."

Sur la fin Kyoko douta du mot à employer, ce qui risquait d'aggraver son cas si Cécilia prenait l'explication de Kyoko comme la réalité et l'hésitation comme un aveu d'une faute grave, en réalité Kyoko n'avait pas sû si le mot sympathiser correspondait à leur relation, après tout était-elle sympathique? Ou simplement alliée à cette personne qui partage un but similaire? Elle l'ignorait toujours.

Cécilia se doutait de quelque chose en voyant que Marc agissait bizarrement

"Tu sera toujours aussi pathétique"

Elle soupira encore une fois puis, elle se tourna vers Kyoko

"Hum, tu n'as peut-être pas tord. Mais alors, que c'est-il réellement passé ? Pourquoi agir ainsi ? Et surtout... pourquoi me mentir ?"

En disant cela ses yeux venaient de se fixer sur Marc et il avait de la chance qu'elle n'ait pas des rayons laser à la place de ses pupilles sinon, il serait déjà mort, enfin si il avait été quelqu'un de normal. Cécilia se leva et elle regarda les deux jeunes gens en face d'elle

"Quoi que vous ayez fait, ça m'est égal ! De toute façon on est plus ensemble ! On a plus rien ! Marc tu vas retomber de ton petit nuage, mais je ne t'aime plus ! Va falloir te l'enfoncer dans le crâne !"

Ne pu s'empêcher de s'exclamer la demoiselle en étant très sérieuse, car si lui il l'aimait, ce n'était pas son cas. Elle se leva et elle se mit à partir

"Et ne me ment plus, je sais que tu n'es pas un ange. Tu n'en ferras jamais partie. Ton monde parfais, tu peux te le garder pour toi, je n'en veux pas. D'ailleurs, je ne voudrais jamais rien de toi !"

La jeune femme jeta les fleurs à l'eau et elel continua à s'éloigner sans se retourner

Marc était tout content que Kyoko essaie de l'aider, mais ça ne fonctionna pas. Cécilia lui brisa alors son coeur en lui disant qu'il n'y avait plus rien entre eux et qu'il fallait qu'il se l'enfonce dans le crâne. Ensuite, elle parti en jetant le bouquet de fleur à l'eau. Il eut un reflexe débile, car il sauta à l'eau pour récupérer le bouquet. Lorsqu'il l'eut rattrapé, il se téléporta vers elle et il la prit par le poignet pour l'empêcher d'aller plus loin. Il serrait fort et elle ne pouvait plus partir

"Je sais que tu es en colère et que tu souffres, mais ne te voile pas la face, je sais que tu m'aimes. Mon monde parfait, je le ferrais pour toi et il ne sera pas parfait si tu n'est pas là. S'il te plait, laisse-moi t'aimer et ne résiste pas, ça ne sert à rien. Je pourrais te faire du mal et c'est ce que je ne veux pas. Je sais, je t'ai menti et comme tu l'a dis, je ne suis pas un ange. Pourtant, si je ment, c'est pour que tu reviennes vers moi et que tu diriges à mes côtés ce monde pourris"

Il la regardait d'un regard profond et il lui redonna le bouquet de fleur

"J'ai beaucoup aimé ta façon de faire en sorte que ces fleurs vivent, mais vois-tu, elles sont fragiles, tout comme mes sentiments envers toi. Si tu ne veux plus de moi, cela reviendrait à couper la dernière petite branchette qui retient le dernier souffle d'humanité qui est en moi"

Elle ne disait plus rien, mais il sentait qu'elle allait bientôt finir par craquer. Alors, il joua une de ses dernières cartes pour la faire revenir. Il prit une petite voix et il fit tomber quelques fausses larmes

"J'ai froid et je me sens tout seul. S'il te plait, ma petite fleur sauvage, revient vers moi et ouvre-moi ton coeur"

Cela ne fonctionnait pas alors, il la lâcha et avant même qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, il fit apparaître une espèce de grande cage et la demoiselle se retrouva enfermée. Il se fit ensuite un sort pour se sècher, car bien qu'il faisait semblant, il avait quand même un peu froid

"Si tu ne veux plus de moi alors, ton coeur n'appartiendra à personne d'autre ! Je t'enfermerais et je te retiendrais jusqu'à ce que tu changes d'avis !"

Marc avait un oeil noir et il serrait les poings. Si il avait agit comme cela, c'était pour éviter de la tuer. Au moins, il était sur que personne ne penserait à l'utiliser si d'autres gens savaient pour la manière de le tuer

Kyoko fut déçu que sa tentative échoua, elle regarda ensuite la scène se poursuivre, Cécilia ne voulait visiblement plus de Marc, mais c'était probablement une façade pensa la mage. Marc essayait de la retenir mais cela n'était guère plus efficace et ce dernier se décida finalement à l'enfermer, Kyoko ne dit toujours rien et écouta les dernières paroles de Marc, ce n'est qu'à ce moment qu'elle s'avança vers la jeune fille. Elle s'adossa à la cage créer par Marc, croisa les bras puis parla suffisement bas pour que ce dernier ne l'entende pas.

"Je ne sais pas ce qui c'est passé, mais si c'est parce que Marc est allié à moi et que tu es contre moi que tu te comportes ainsi, tu ne feras que te détruire."

Kyoko se tût ensuite, attendait-elle une réponse où se remémorait-elle des moments douloureux? Ce n'était pas vraiment clair pour elle non plus, Marc était la première personne qui semblait la comprendre, cela lui rappellait les quelques bons moments de sa vie, mais en même temps, la mage ne voulait pas s'attacher à cet homme, pas même pour de l'amitié, la peur que le même scénario qu'autrefois se reproduise la hantait encore. En pensant à cela Kyoko ferma les yeux et son visage pu paraître à la fois triste et énervé, ses erreurs passés lui ont coutés cher, mais maintenant elle n'est plus comme avant, l'hésitation n'est plus, les sentiments n'existent plus que dans un misérable coin oublié de son âme, et surtout elle ne fera plus d'erreur dans ses actions.

"Marc, le monde est pourri, et rien ne peut le changer, parce que la mort existe, parce que les sentiments existent, parce que la vie existe, seule la destruction de l'univers amènerait un bonheur universel..."

Sur ces paroles, Kyoko soupira de lassitude, peut-être la lassitude de la vie qui s'emparait d'elle après tout ce temps.

*Pourquoi tout me paraît si ennuyeux? Je ne sais pas...ça m'énerve....de toute façon je finirais l'oeuvre que j'ai commencé, même si je dois mourir sur la scène finale, ce qui n'arrivera pas .*

Kyoko était plutôt pensive ces derniers temps, habituellement elle élaborait des plans diaboliques, mais en ce moment il s'agissait plutôt de réflexion, torturer ne l'amusait plus autant qu'avant, et ce qui était son seul but dans la vie s'amenuisait petit à petit.

Cécilia ne comprenait plus rien. Marc venait de se jeter à l'eau pour récupérer le bouquet et ensuite, il la retenait par le poignet pour l'empêcher de partir et comme d'habitude, il lui jouait la commédie. Elle n'avait rien envie de dire, car elle le trouvait gonflant et lui dire le fond de sa pensée n'aurait fait qu'agraver les choses. Il décida par la suite de l'enfermer dans une cage, comme si elle était un animal

"Hey ! Libére-moi tout de suite espèce de taré !!!!"

Ne pu s'empêcher de crier Cécilia en tapant sur les barreaux qui étaient assez solides. Kyoko vint s'adosser contre la cage, la jeune femme arrêta de s'agiter pour la laisser parler

"ça n'a rien àvoir"

Murmura la demoiselle pour répondre à cette femme. Ne sachant quoi faire, Cécilia s'assit au fond de la cage et elle mit ses mains sur ses genoux

"Avant, on s'aimaient beaucoup. J'aurais sacrifié ma vie pour sauver la sienne. Pourtant, un jour, il m'a demandé de le tuer quand j'ai appris que c'était un monstre. Je ne voulais pas, et il m'a forcée à le faire. Alors, il m'a obligée à le jeter par dessus une falaise. Je ne savais pas qu'il ne pouvait pas mourir. Il a fait ça pour que je l'oublie et c'est ce que j'ai fait. Mon coeur est en miette depuis qu'il est revenu et il voudrait que je lui pardonne ce que j'ai du subir ? Et bien non ! Je ne suis pas un jouet normal et je ne le serais jamais, alors, va t'amuser avec d'autres personnes !"

Elle ne pouvait s'empêcher de parler et encore parler, car elle disait ce qu'elle avait sur le coeur

"Marc, écoute ce que te dis Kyoko ! Ce monde est pourris, tu ne pourras jamais le changer. Il faudrait le détruire, mais ce n'est pas en mon pouvoir, car il y a des gens sur cette terre pour qui je me bat et qui seraient malheureux si tout disparaissait"

Marc ne disait plus rien, il avait l'air sur une autre planète

"Marc... Marc... ça va ?"

Cécilia se demandait ce qui pouvait ce passer dans la tête de cet homme complètement cinglé et qui ne changerait jamais

Marc était un peu déstabilisé. D'un côté, il y avait Cécilia qui pétait les plombs et d'un autre côté, Kyoko qui semblait triste et bien pensive. Il écouta d'abord Kyoko, car elle donnait de bons conseils

"Tu n'as pas l'air bien Kyoko, faudrait que tu ailles te reposer un peu. Après, on ira détruire l'univers, mais il y a quand même quelques choes qui me perturbe un peu : Comment on va survivre si on détruit tout ? Et puis, si il n'y a plus personne, la vie va devenir morne, je pense qu'il faudrait bien réfléchir avant d'agir"

Ensuite, il se tourna vers sa chérie et il hocha la tête de gauche à droite

"Tu sais, tu es un peu mal partie pour pouvoir m'empêcher de réaliser mes plans tordus"

Quand il eut dit cela, il ne dit plus rien, car il venait de réaliser une chose

*Si elle n'est pas de mon côté, je vais devoir la tuer, mais je l'aime trop pour le faire. Pourtant, si je ne le fais pas, elle pourrait compromettre nos plans en allant informer Peter. Que-ce que je vais faire ? Je ne vais pas la laisser enfermé à tout jamais*

Il était perdu dans ses pensées quand tout d'un coup, il remarqua que Cécilia lui demandait si ça allait

"Mieux que toi on dirait mon petit chat sauvage. Maintenant que tu es prisonnière de mes griffes, tu vas y rester un bon bout de temps. Si tu croyais que j'allais te laisser repartir après tout ce qui vient de ce dire, c'est que tu à un esprit très imaginatif"

Lui dit-il en ayant un mince sourire. Il venait de la pièger et il n'était pas prêt de la laisser repartir. Puis, il se tourna vers Kyoko

"Si madame veux bien prendre la peine de venir dans ma modeste demeure, j'en serais très honoré et comme cela, vous pourrez vous reposez quelques heures avant de reprendre la route"

Il se concentra fortement et la cage se fit téléporter jusque dans cette grande maison qui était bien visible. Il sauta vers la mage et il la rattrapa avant qu'elle ne tombe, car elle était adossée contre la parois de la cage et elle n'avait sûrement pas du s'attendre à ce qu'il l'enlève si rapidement

Kyoko écouta Cécilia mais dû la corriger lorsqu'elle dit que des gens seraient malheureux si tout disparaissait.

"Tu te trompes Cécilia, si tout disparaît, tout le monde sera mort, donc plus de malheurs, plus de bonheurs, plus de sentiments, plus d'indifférence, juste du vide."

Kyoko marqua ensuite une courte pause pour se tourne vers Marc et donc répondre à sa question.

"La vision que je propose là est extrême, elle suppose que nous aussi nous mourrions, pour moi mourir ou vivre reviens au même depuis bien longtemps, mon âme d'humaine est morte, alors ça ne changera guère pour moi. Mais il est évident que pour toi et d'autres personnes cela serait plus difficile à accepter. Cela répond aussi à ta question sur mon état actuel, je vais bien, mais en même temps quand je te vois, j'ai l'impression de revoir des évènements passés douloureux, tu me diras pourquoi je reste en ta compagnie, et bien pour voir jusqu'où ce jeu passionant ira, voir si la vie est un éternel recommencement ou si il y a moyen de défaire une boucle bouclée depuis trop longtemps, celle qui fait que le Mal se perpétue et que sa défaite fasse au "Bien" aussi."

La mage sourit alors à Marc, son sourire était confiant, ce sourire donnait l'impression que rien ne pouvait arrêter Kyoko tant elle semblait sûre d'elle.

"Ne t'inquiète pas, je veillerais à ce que les erreurs passées ne se reproduisent pas."

Marc les téléporta ensuite dans sa demeure, et comme il avait vu venir, elle n'avait pas eu le temps de réagir et allait tomber. Il la rattrapa mais la mage ne resta pas dans cette position bien longtemps et se redressa dès que possible, elle s'en retourna vers Cécilia pour lui glisser quelques mots.

"Tout à l'heure tu as dis que ça n'avait rien à voir, moi je continue de douter, je n'ai presque plus de sentiments, mais si tu aurais voulu tu aurais déjà pu t'échapper."

Cécilia ne savait plus quoi faire. Ce qu'elle ne disait ne servait à rien et en plus, elle ne savait comment empêcher ces deux follos de mettre leur plans à execution. Elle ne savait pas comment ce sortir de ce pétrin et elle ne dit plus rien, car elle réfléchissait en laissant Kyoko brasser de l'air.

*Fou, ils sont complètement fou tout les deux. Faire disparaître tout le monde, quelle douce folie. Dommage que Peter ne soit pas là*

Pensa la jeune femme. Tout d'un coup, elle se retrouva téléportée dans cette grande maison qui était toujours aussi sombre et décorée d'une manière assez gothique. Il l'avait téléportée dans le salon qui était assez grand. Elle ne pu quand même pas se retenir de rire en voyant la tête que faisait Kyoko après qu'elle se soit retrouvé dans les bras de Marc. Pourtant, ce rire ne fut que de courte durée, car la femme lui adressa quelques mots

"Tu n'as pas tord. Mais pour tout te dire, je ne sais plus trop quoi penser. Il est resté le même. A chaque fois qu'on s'engeulait ou que l'on devait se séparer, je revenais toujours vers lui. Je crois que finalement, je l'aime plus que prévut..."

Chuchota la jeune femme en espèrant que Marc n'entendrait pas ce qu'elle venait de dire

"Bienvenue chez mois mesdames"

Ils avaient attérit dans le grand salon. Il y avait un grand canapé noir assez confortable. Il y avait aussi un grand écran plat et une petite table basse entre deux. A droite, il y avait une grande table et quelques chaises, si jamais ils voulaient diner au salon. Il cru rêver en entendant Cécilia rire quelques minutes. Puis, il tendit l'oreille et il entendit des chuchottements

"Que-ce que vous manigancer vous deux ?"

Marc alla jusque vers la porte et il l'ouvrit. Il regarda un peu de tout les côtés et comme il n'y avait personne, il referma la porte et il retourna vers Kyoko

"Mes parents ne sont pas là. Ils se sont peut-être abscenter. Je suis sur que tu leur plairais Kyoko, tu as à peut prêt les mêmes idées qu'eux. Finalement, ce n'est pas si grave si je meurs. De toute façon, je vais bien finir par mourir un jour"

Il soupira légèrement puis, il alla s'asseoir sur le canapé en regardant les deux jeunes femmes

"Si tu veux Kyoko, je peux faire venir un raffraichissement. Si tu as un projet quelconque à réaliser à part détruire la planète et dont tu as besoin d'argent, tu n'as qu'à me demander. Normalement, je te demanderais quelque chose en échange pour se service rendu, mais comme je n'ai pas d'idée, je ne te demanderais rien. Et puis, si tu veux, je peux te faire visiter la maison. Mes parents sont riches, ils ne se sont pas privés de construire cette grande baraque"

Le mage noir se leva et il toucha une des mèches d'un bougeoir qui était sur la table. Quand il enleva ses doigts, une flamme jaillit pour éclairer l'endroit

Les soupçons de Kyoko envers Cécilia furent confirmé par celle-ci qui avoua finalement les fait, Marc n'en entendit rien et d'une certaine façon, cela était probablement mieux ainsi. Ce dernier leur demanda ce qu'elles maniganceaient, Kyoko ne se sentant pas obliger de répondre garda le silence et alla s'installer dans le confortable canapé avant de répondre à Marc qui parla un peu de sa famille, Kyoko n'était pas affecté par tout cela mais lui répondit tout de même.

"Je ne compte pas détruire le monde, en tout cas pas dans l'immédiat, je te l'ai dit je veux voir comment se finira ce jeu dans lequel je suis l'un des piliers. Et mes projets ne requiert jamais la moindre pièce d'or, la richesse ne m'a jamais intéressé car elle n'a qu'une valeur instantanée et tu n'es pas garantit que le lendemain sa valeur sera identique, alors que la magie garde sa valeur et sa puissance."

Kyoko laissa ensuite un vide pour jeter un coup d'oeil à Cécilia puis à Marc, elle n'avait jamais été vraiment à l'aise dans les bâtiments, elle regardait autour d'elle jusqu'au moment où elle reconnu un artefact rare qu'elle alla examiner de plus près, quelques gouttes de sueurs apparurent alors que le visage de Kyoko qui heureusement tournait le dos aux deux autres personnes. Elle s'essuya le visage et se retourna, regardant Marc d'un air assez agressif tout en désignant l'objet qui était une amulette.

"Dis-moi Marc...cette amulette, elle était déjà là quand cette maison a été construite? Il faut que je sache...."

On ne savait trop ce que voulait savoir Kyoko, mais cela semblait suffisement important pour qu'elle se montre insistante.

*Bon cette commédie à assez duré. Je ne vais pas rester éternellement dans cette cage*

Pensa l'humaine en ayant marre de se retrouver prisonnière. Elle sorti une épingle d'une minuscule poche de sa robe et elle se mit à la déplier. Marc avait le dos tourné, car il était assis alors elle en profita. Elle approcha ses mains de la serrure et elle y mit l'épingle à l'intérieur. La jeune femme se mit alors à se concentrer et tout en essayant de décrocheter la serrure, de la sueur se mit à perler de son front

*Je dois y arriver ! Dès que j'en aurais fini avec cette maudite serrure, je vais lui montrer ce qu'il en coûte de me traiter comme un animal*

Pensa encore une fois la miss. A force de concentration, la serrure fini par cèder et la jeune femme poussa la porte. Elle se dirigea vers Marc et elle lui donna deux ou trois coups de poingts

"Espèce de sale type ! Tu croyais vraiment que j'allais me laisser faire ? Ne me traite plus jamais comme ça !"

Quand elle se fut calmée, elle s'assit à son tour sur le canapé pour reprendre son souffle.

Après avoir allumé le bougeoir, il s'assit de nouveau. Il écouta pour la xxième fois Kyoko en étant pendu à ses lèvres

"D'accord, de toute façon, je pense que tu ne dois pas être si pressée que ça de tout détruire pour parler ainsi"

Il la regarda se lever et regarder une amulette. Elle avait l'air très perturbée par cet objet pour lui parler d'un ton agressif

"Oh tout doux ! Cette amulette était déjà là quand on est arrivé et je crois qu'elle va rester ici encore un moment. Mes parents ne sont pas prêt de s'en débarasser. J'ai déjà essayé de l'étudier, mais je n'ai pas compris à quoi elle servait"

Il avait l'air assez détendu et il baissa sa garde. Il ne vu donc pas arriver les coups de poing que lui donna Cécilia. Il ne savait pas comment elle avait fait pour sortir, mais en tout cas, elle n'avait pas apprécié d'être enfermée. Ce qui était normal, depuis qu'il la connaissait, elle avait toujours eut horreur des endroits clos. Il attendit qu'elle se calme et il la regarda s'asseoir sur le canapé

"Désolé, j'avais oublié que tu n'aimais pas être enfermée trop longtemps. Pourtant, tu dois m'aimer, sinon, tu aurait profité que je sois distrait pour t'enfuir"

Il lui fit un sourire puis, il regarda l'amulette en posant sa main comme si de rien n'était, sur le genoux de Cécilia. Il allait encore se faire frapper, mais ce n'était pas grave, il en avait l'habitude et puis, ça voulait certainement dire qu'elle l'aimait encore.

*Je ne perd pas espoir. Elle finira bien par craquer, se déshabiller devant mes yeux et s'agenouiller devant moi en petite tenue en implorant mon pardon*

Pensa Marc. Cela n'avait l'air de rien, mais en même temps qu'il était à moitié cinglé, il avait aussi un esprit pervers.

Kyoko était concentré sur l'amulette mais le bruit provoquer par la porte qui s'ouvrait la fit se retourner, elle vit Marc se faire frapper et ce dernier se ridiculisa une nouvelle fois, cela fit soupirer Kyoko qui se demandait si il n'était pas masochiste à aimer une telle fille. Elle reporta son attention sur l'amulette qu'elle prit en main pour examiner les symboles de plus près puis conclut.

"Cette amulette est une partie de l'ensemble du sage Tellah créer il y a 400 ans, il y a enfermé le secret du sort le plus puissant du monde, les connaisseurs sont prêt à s'endetter sur plusieurs dizaines de génération pour obtenir ne serait-ce qu'un bout de l'ensemble. Seule l'amulette ne vaut rien, mais si ta famille venait à la vendre, tu peux considérer qu'elle aurait de quoi vivre grassement pour les cinq prochain siècles à venir."

Kyoko reposa ensuite l'amulette puis reprit.

"Si je me souviens bien, Tellah est mort un an avant que je me fasse enfermé alors qu'il voulait venger sa fille en utilisant ce sort à son âge avancé..."

La mage retourna ensuite vers le canapé.

"Si ça ne te dérange pas j'aimerais me doucher, où est la salle de bain? J'aimerais être fraîche pour ce soir." (phrase sujet à des quiproquo)

Cécilia avait les bras croisés et elle écoutait le récit de Kyoko en faisant un peu la tête. Elle n'avait vraiment pas aimé le coup qu'il lui avait fait et elle allait se venger. Lorsque la femme demanda à aller se doucher, Cécilia se leva et elle regarda Marc

"ça te fait rien que je fasse pareil ? ça va faire un moment que j'ai pas pu me doucher, je dois puer. Je te laisse lui montrer la direction, elle va encore se perdre à cause des quatre salles de bain qui ont été crées"

Sur ce, la demoiselle se dirigea vers l'escalier, mais avant de le monter, elle se retourna et elle revint vers les deux amis

"Au faite, tu ne m'en voudras pas, mais tu m'as toujours dit de faire comme chez moi, donc je t'obéis pour une fois, tu devrais être content"

La miss se fichait un peu de la tête de Marc, mais il l'avait bien cherché. Elle monta alors les marches pour aller au deuxième étage. Elle s'engouffra dans la première salle de bain qu'elle trouva et elle ferma derrière elle à clé. Quand ce fut fait, elle se déshabilla et elle entra dans la douche pour se laver

"Toute façon, ils voudront jamais la vendre, les vieux sont trop attachés aux objets qui étaient déjà dans cette vieille baraque. Mais si tu y tient tellement, je peux créer un clône et te donner l'originale, de toute façon, pour ce qu'on s'en sert"

Il regarda ensuite Cécilia partir. Il voulu lui demander où elle allait, mais elle prit les devants en disant qu'elle allait se doucher.

*Telle que je la connais, elle va encore fermer la porte à clé. Si je défonce la porte, elle va pas aimer. Rah, c'est trop injuste*

Pensa Marc en ayant des pensées pas très catholiques qui lui vinrent à l'esprit. Il se leva en se souvenant de ce qu'avait dit Kyoko

"Vient avec moi, je vais te montrer où se trouve la salle de bain. Normalement, il y a de tout pour que tu soies fraiches comme la rosée après ton lavage"

Il se leva et il commença à monter gentiment les escaliers qu'avait monté Cécilia quelques minutes plus tôt. IL n'allait pas trop vite pour que son invitée ait le temps de venir. Après avoir grimpés quelques marches, ils arrivèrent dans un grand couloir. Marc marcha encore un peu et il ouvrit une porte. Dans la pièce, il y avait une grande baignoire en forme de coeur qui faisait aussi jaccuzi. Autour, il y avait des armoires pour ranger les affaires et les produits de douches. Il y avait aussi quelques fleurs et quelques tableaux pour décorer la pièce.

"Voilà, je te laisse te décrasser. Je reviens plus tard"

Ensuite, il s'éloigna pour laisser la place à Kyoko et il alla se coller contre la porte de la douche qui était à côté, car il savait que Cécilia devait s'y trouver, car elle utilisait souvent cette salle de bain quand elle se douchait chez lui. Ce qu'il espèrait à présent, c'était de pouvoir essayer de voir par le trou de la serrure une des deux jeunes femmes en train de se doucher

Kyoko regarda Cécilia partir se doucher, Marc montra ensuite à la mage où elle pouvait se doucher, la mage entra dans la salle de bain puis ferma à son tour la porte à clé. Elle poussa alors un soupire de soulagement puis se concentra pour sentir l'aura de Cécilia, lorsqu'elle eut repéré, la mage afficha un sourire amusé et sadique que personne ne pu voir. Elle se déshabilla doucement puis se colla près du mur qui séparait les deux salles de bains. Elle récita une petite incantation qui lui permis de faire apparaître un clône de Marc dans la salle de bain de Cécilia. La mage contrôlant les gestes du clône par la pensée, elle voyait aussi tout ce qu'il faisait.

Le clône s'avança vers Cécilia et l'immobilisa en la bloquant contre le mur, il se montrait particulièrement agressif et pervers, d'ailleurs ses agissements laissaient penser qu'il voulait violer Cécilia. L'embrassant de force avant de commencer à la tripoter.

*Voyons maintenant ce qui va se passer...*

Pensa la mage en donnant son "indépendance" au clône qui allait probablement chercher continuer son activité déplacé avec Cécilia. Pendant ce temps la mage s'allongea dans le bain et regarda les différentes manivelles, ne sachant trop comment tout cela fonctionnait, elle usa finalement de la magie pour faire apparaître de l'eau chaude dans le bain avant de soupirer.

"La technologie ne vaut pas la magie... Je n'ai pas encore entendu crier... Mais ça ne devrait pas tarder..."

Quand Cécilia eut fini de se doucher et qu'elle sorti de la douche, elle : Marc ??? Mais comment.... comment il avait pu rentré ? Ce n'était pas un mage noir, mais un fantôme ! Il s'approcha de la demoiselle et il la bloqua contre le mur. Il se montra très agressif et pervers, d'ailleurs ses agissements laissaient penser qu'il voulait la violer. Le clône l'embrassa de force avant de commencer à la tripoter. La demoiselle ne pu s'empêcher de lui donner un coup de pied dans ses bijoux de famille.

"MAIS CA VA PAS LA TÊTE ???? ARRÊTE TOUT DE SUITE SALE PERVERS !!!!!"

Cria la demoiselle. Il essaya de concintinuer la où il s'était arrêté et cette fois-ci, Cécilia se mit à crier d'un cri puissant que peut-être même les esprits avaient pu entendre. Son coeur battait la chamade et elle ne savait plus quoi faire

*Allez respire ma grande. Peter ne t'a pas appris à avoir peur, il t'a apprit à te battre, alors, tu te concentres et tu te bats... allez au boulot !*

Pensa la jeune femme en ne pouvant rien faire. Elle essaya de reprendre courageusement ses esprits et elle lui prit le cou et le pencha vers la gauche en lui donnant un coup de pied derrière l'emplacement de son genou. Le clône qui ne s'y attendait pas, se fit mettre par terre. Il se releva après avoir repris ses esprits et il essaya encore une fois de continuer ses actes très pervers qui ne plaisaient pas à Cécilia

Marc en entendant Cécilia crier, n'écouta que son courage et il prit son élan. Au début, la porte ne céda pas alors, il recommença une seconde fois. Cette fois-ci, la porte céda et il rentra en catastrophe dans la pièce. Il va alors son amour de sa vie en compagnie de lui-même qui la trippotait

"Hey c'est quoi ce trip ? Que-ce que je suis en train de faire ? Oh my good ! Tu la lâches tout de suite c'est compris ??? Il n'y a que moi qui à le droit de lui faire ça et encore, je n'ai le droit de le faire que dans mes fantasmes !"

S'exclama Marc en étant furieux. Le clône lui tira la langue et il continua. La pauvre jeune femme était complètement terrorisée, alors, il du agir

"Je ne te laisserais pas continuer plus longtemps ! Yatah !!!"

En poussant son cri de guerre, il se jeta sur le clône qui lâcha Cécilia. Ils roulèrent alors tout les deux sur le sol de la salle de bain sous les yeux horrifié de la demoiselle. Quelques minutes plus tard, il arriva enfin à immobiliser l'imposteur en l'étranglant. Marc se releva, prit le clône et il passa une serviette à Cécilia

"Je ne sais pas ce qui ce passe, mais sache que je n'aurais jamais pu te faire une chose pareille"

Il parti en remettant la porte par télépathie. Il ne savait pas qui avait fait ça, mais cette personne n'allait pas s'en sortir si facilement. Quand même, il n'était pas si décu que ça, car il avait beaucoup aimé voir sa douce complètement nue

Kyoko avait finalement observé toute la scène via le clône et elle s'était bien amusé, d'ailleurs les paroles de Marc lui donnèrent envie de rire mais elle dû résister pour ne pas se faire découvrir. La mage resta encore quelques minutes dans l'eau avant de sortir, elle se sécha rapidement puis remit sa cape qui cachait toujours partiellement son corps et la protégeait des regards indiscrets. Elle sortit de la salle de bain et retourna dans la salon où elle s'installa confortablement, attendant le retour de Marc et Cécilia pour leur demandé la raison de ces cris insupportables. Pour passer le temps, la mage s'imagina différent scénario de ce qui aurait pu se passer.

(je sais pas quoi répondre de plus xD)

Cécilia était terrorisée et elle ne savait plus quoi faire. Tout d'un coup, Marc arriva en défonçant la porte. Il se battut férocement contre lui-même et il se tua, enfin il tua le clône. Ensuite, le vrai Marc lui tendit une serviette et il reparti avec lui-même en remettant la porte de la salle de bain où elle était. La jeune femme eut du mal à reprendre ses esprits, mais elle y arriva quand même. La miss se sècha, elle se rhabilla et elle descendit les marches d'escaliers pour aller jusqu'au sallon. Marc n'était pas là, mais par contre, Kyoko était assise sur le canapé. Cécilia la rejoignit et elle s'assit aussi. Un grand silence commença à se former, mais il ne dura pas longtemps, car la miss le brias bien vite

"C'est toi qui à fait le coup ? ça va faire un bon moment que je viens ici e til ne m'es jamais arrivé cela. Ne le nie pas, ça ce voit à ton sourire. Eclate de rire si ça peut te faire plaisir, mais moi, je n'ai pas envie de rire"

Cécilia croisa ses bras et elle eut un regard noir en pensant à ce qui venait d'arriver. Heureusement que ce n'était pas le bon Marc, car sinon, elle l'aurait tué en allant chercher de l'eau bénit

*En tout cas, faudra que je me venge. Si elle croit que je vais laisser passer ça, elle se trompe*

La demoiselle décroisa un petit moment ses bras pour remettre ses cheveux comme il le faut. Quand ce fut fait, elle recroisa ses deux bras