a la recherche de Cécilia [PV Cécilia ]

Ai survolait lentement le désert, a la recherche de la cité d'Uruk. pourquoi s'aventurait-elle sur ce terrain ennemi ? pour une raison simple... elle avais apprit que Cécilia y était. comment le savait-elle ? les ragots du village tout simplement. elle pensait naïvement que sa marraine Cécila n'avais pas rejoins Ishtar de son plain grès, bien que sa maman lui avais expliquer toute la vérité, que Cécilia avait fait son choix d'elle même avant de suivre Ishtar jusqu'à la cité dans le désert.

*Ishtar l'a surement manipuler... ma marraine n'aurait pas rejoins d'elle même les ennemis de papa et maman. je ne peux pas y croire... il faut que je lui parle, que je comprenne... maman et papa ne seront surement pas content mais tant pis... je dois voire ma marraine a tout prix...*

se dit-elle avant de survoler enfin l'immense cité. tout le monde semblait dormir, les rues étaient désertes. d'ailleurs... les rues en questions étaient étranges, étroite... surement pour protéger du soleil le jour. mais le plus impressionnant, c'était que la cité était gigantesque et après y avoir tourner en rond un bout de temps, Ai commençait a perdre espoir: elle était en train de chercher une aiguille dans une botte de foin, de plus, avec son kimono et son teint claire, elle affichait clairement sans le vouloir son origine: le village caché dans les montagnes. cela ne risquai-il pas de lui causer du tort ?

*Cécilia, ou est tu ?...*

elle finit par se laisser glisser contre un mur, regrettant de s'être aventurer en ses lieux inconnu... mais par chance, celle qu'elle cherchait la trouvrait peut être...

Cécilia marchait tranquillement le long des rues. Il était tôt, certes, mais elle n'avait pas sommeil. Marc était parti faire ses expériences morbides et dangereuses et Ishtar n'était pas là, alors, la demoiselle s'ennuyait et elle avait envie de bouger, c'était donc pour cela qu'elle avait mit sa cape pour se protèger du soleil et qu'elle était partie se promener.

*Wow c'est bien calme aujourd'hui, j'espère que mon homme sortira de son trou, il commence à me manquer. Toujours à faire ses potions... tss ses potions... A quoi ça va lui servir ? A rien.... Ishtar voulait m'apprendre quelque chose aujourd'hui, amsi elle est pas là non plus, encore à se balader n'importe ou... tss c'est pas cool de leur part... bon que vais-je faire ? Je verrais sur le moment*

Voilà à quoi elle pensait. A force de marcher, elle fini par appercevoir une tâche. Croyant rêver, elle s'approcha doucement sans faire de bruit. Plus elle s'approchait et plus cette tâche devenait clair et nette. Elle croyait que le soleil lui avait taper sur la tête lorsqu'elle reconnu la gamine appuyée contre un mur. La combatante ne voulait pas l'effrayer, mais elle remarqua un détail qui avait toute son importance. A la gauche de la petite, il y avait un homme qui s'approchait aussi gentiment de sa nièce. Sur son visage, il y avait des attentions mauvaises. Cécilia comprit ce qui n'allait pas, alors, elle prit son élan et elle sauta par-dessus Ai pour donner un violent coup de pied où il ne fallait pas à cet inconnu peu scrupuleu. Ce dernier n'ayant pas vu le coup venir, eut très mal et lorsque la douleur ne fut plus de la partie, il parti sans demander son reste.

"Hm ça lui apprendra"

Dit la jeune femme d'un ton autain, puis, elle se retourna et elle regarda la petite fille avec un regard sévère.

"Que-ce que tu fais ici ? Même à cette heure, il y a des gredins pas très fréquentables qui rôde dans les rues d'Uruk. Où sont tes parents ? Tu ne devrais pas être là Ai"

Elle l'avertissait d'une voix un peu dure, mais ce n'était pas méchant, c'était pour son bien, car à vrai dire, elle avait eut très peur pour la petite fille de sa meilleure amie. Sans son intervention, elle aurait pu se faire violer et ça, elle n'aurait pas pu se le pardonner s'il était arrivé un acte aussi barbare à la pauvre enfant sans qu'elle ne puisse intervenir.

"Tient gamine, sans ça, tu vas attraper un mauvais coup de soleil"

Cécilia se baissa et elle mit sur la tête de Ai sa capuche. Elle la serra ensuite dans ses bras, puis, elle se releva, puis, d'un geste protecteur, elle mit sa main sur l'épaule de sa nièce.

"N'ais pas peur Ai, tu es en sécurité avec moi. J'ai promis à ta mère de te protèger et je le ferrais jusqu'à ma mort"

Ai se mit a fixer l'homme qui s'approchait d'elle. il ressemblait a un clochard, a moins que ça ne soit un ivrogne... en tous cas, il n'y avais quelque chose de pas net dans son regard, de plus, il ne sentait pas très bon, ce quoi n'arrangeait rien. Ai commença a prendre peur devant cet individu qui n'inspirait pas confiance

*c'est qui celui la ? qu'est-ce qu'il me veut? "

le premier reflex de Ai fut de fuir mais une silhouette se dressa devant elle, donnant un coup la ou sa faisait mal a l'homme louche. celui ci resta a terre pendant quelque instant puis finit par s'enfuir. Ai regarda alors la jeune femme qui venait de la sauver, mais elle ne la reconnu pas tout d suite... pourtant, cette présence semblait si familière... de plus, elle connaissait son prénom

"je suis venu chercher quelqu'un... "

répondit Ai d'un ton hésitant, puis lorsque la jeune femme lui prêta son capuchon pour la protéger du soleil en la serrant dans ses bras par la suite, elle la reconnu... Cécilia, sa marraine...

"Marraine Cécilia..."

Ai se blottie dans les bras de celle qui avais été la sœur de coeur de sa mère. l'était-elle toujours ? Ai l'ignorait, mais elle s'en fichait.

"mes parents ne sont pas au courant que je suis la... ils ne sont pas a la maison, je ne sais pas quand il reviendront... mais tu m'as tellement manquer, j'ai cru qu'on ne se reverrait jamais. pourquoi es tu partit si vite et si loin sans même me dire au revoir ?"

la petite avais a ce moment la les larmes aux yeux. elle savais qu'elle devrais bientôt rentrer chez elle mais elle ne voulait plus quitter sa marraine maintenant qu'elle l'avais retrouver.

"est-ce que tu reviendra un jour ?"

demanda-elle pleine d'espoir en regardant Cécilia

"Je.... je ne sais pas..."

Cécilia baissa la tête, car elle n'était pas fière d'elle. Pourtant, elle avait agit pour la bonne cause et elle avait eut raison de le faire, car elle avait apprit beaucoup de choses aux côtés d'Ishtar-sama et elle comprenait à présent pourquoi elle agissait ainsi. Cécilia releva la tête et elle vit les larmes dans les yeux de la gamine, alors elle lui ébouriffa ses cheveux.

"Toi aussi tu m'as manquée petite tête. Tu es bien courageuse d'avoir été jusqu'ici, mais aussi très imprudente. Je suis désolée, mais ma fuite à été très précipitée et au moment où je suis partie, tu devais être en train de dormir, je pense que tes parents ne voulaient pas te réveiller pour si peu. Si je suis partie, c'était pour comprendre, pourquoi cette guerre éclate entre les deux clans : le bien et le mal, mais aussi pour pouvoir retrouver celui que j'aime et aussi pour pouvoir me ressourcer et devenir plus forte.. Tu sais, grâce à ce que j'apprend, je pourrais un jour apporter l'harmonie pour que tes parents n'ayent plus à se battrent et qu'ils puissent jouir plainement de leur vie de couple"

Elle lui sourit, car ses explications avaient du être sûrement trop abstraites pour elle. Cécilia regarda ensuite devant elle, puis, elle se retourna pour faire face à la petite fille.

"Si ton père me croise à nouveau, il ne ferra pas de quartier, j'ai fait mon choix, à moi de l'assumer... au pire, je peux toujours te raccompagner chez toi en espèrant que ton père ne sera pas là. Ta mère, je ne sais pas ce qu'elle en pense, mais quand je suis partie, on aurait dit que je venais de mourir encore une fois, je ne pense pas qu'elle apprécie de me revoir. Je peux toujours te rammener chez toi, cela ne devrais pas poser de problèmes, enfin j'espère. En tout cas, à présent que tu es là, je vais te faire un peu visiter, viens avec moi ma puce, il n'y a pas grand monde en ce moment, donc on ne risque pas trop d'être embêté"

Elle lui prit la main doucement pour ne pas lui faire mal. Ensuite, elle l'entraina avec elle. C'était fou comme elle pouvait être gentille avec la petite fille et horrible avec un ennemi. Elle aimait bien les enfants, mais à présent que Takeshi était mort, elle hésitait à en reprendre un à l'orphelinat et à moins que Marc trouva un remède miracle pour qu'elle puisse tomber enceinte, ce qui ne risquerait pas d'arriver avant longtemps et bien, elle ne risquait pas d'être mère avant un bon moment, mais ça ne pouvait pas l'empêche de s'occuper temporellement d'Ai.

"Tu as gardé le médaillons que je t'ai offert princesse ? Ce n'est pas une simple babiole en toc que l'on trouve dans un bête marché, non bien au contraire, il est très précieux, car à ce qu'il parait, il porte chance aux gens qui le porte"

Dit la jeune femme en étant sérieuse. Oui ce n'était pas une plaisanterie et la matière dans laquelle il avait été fait le rendait aussi très précieux, car il avait coûté cher. Après avoir donné ses explications, la miss se remit à marcher en entrainant la petite dans une ruelle pas trop dangereuse et qui allait bientôt s'éveiller, car les marchands commençaient à arriver pour vendre divers objets ou babioles pour se faire un peu d'argent.

Ai écouta les paroles de Cécilia et comprit la plus grande partit du message, mais quelque chose lui échappait tout de même. elle portait en elle la même inquiétude que ces parents

"mais Cécilia... si tout le monde se détourne de mes parents pour venir vivre ici, il n'y aura plus jamais de défenseurs... et de plus en plus de gens pour servir Ishtar... elle veut conquérir le monde et qu'adviendra-il de mon village si cette progression continue ? maman et papa se sentent abandonnés de tous (hj: ne le prend pas pour toi Deimos stp ^^) et plus les gens se joignent a la cause de ishtar, plus ils perdent espoir tous les 2... ils ne me le montre pas mais je vois bien qu'ils ont peur... peur de l'avenir. surtout maman. depuis que tu es partit, elle n'est plus la même. avant, elle croyait toujours en l'avenir... maintenant, elle n'a plus que des doutes. elle ne dit rien mais je sais qu'elle rêve en secret d'avoir autant d'influence qu'Ishtar sur les gens qu'elle rencontre...pourquoi est-ce que Ishtar voudrait prendre la terre alors qu'elle a déjà tout ça ? pourquoi ?"

demanda la jeune fille en regardant au loin toute l'étendue de l'immense et majestueuse cité D'Uruk.

"elle possède déjà le plus grand royaume existant sur terre... pourquoi veut elle plus ? pourquoi veut elle étendre son règne sur le reste de la terre ? et pourquoi est-ce qu'il serait mal de l'en empêcher ? pourquoi est-ce que ce sont mes parents qui sont considéré comme les méchants dans l'histoire ?"

voila tout ce que Ai ne comprenait pas. et la liste était bien longue

"papa a l'impression que tout le monde lui tourne le dos... et maman semble perdre jour après jour la volonté de combattre. j'ai peur..."

a ce moment la, Ai se mit a pleurer dans les bras de Cécilia. elle s'était confier en toute sincérité a sa marraine. celle ci comprendrait peut être pourquoi ses parents avaient si mal vécut son départ pour Uruk et pourquoi ils voulaient a tout prix se battre contre les idées de conquêtes D'Ishtar. Cécilia lui demanda ensuite si elle avais toujours son médaillon, lui expliquant la valeur qu'il avait. Ai montra alors le bijoux qu'elle portait toujours sur elle

"je l'ai toujours garder... depuis que marc est venu me l'apporter. il ne m'ait jamais rien arriver..."

elle regarda ensuite Cécilia

"je suis sure que maman t'accueillerait... concernant papa, il n'st pas souvant a la maison. les chaise vont plutôt mal en ce moment pour l'alliance. mais ils ne seront pas de retour avanc ce soir. si tu revenait ne serait-ce qu'une petite heure, on pourrait prendre le thé et jouer dans la neige, comme avant..."

après cette proposition, Ai se laissa guidée en jetant des regards curieux aux babioles que les marchands exposaient

Cécilia écoutait patiamment ce que la petite fille lui disait et à l'intérieur d'elle-même, il y avait comme une sorte de boule qui lui nouait la gorge. Après avoir marché un bon moment, les deux femmes arrivèrent devant le temple d'Ishtar. La combatante regarda les gardes de haut.

"Pas de soucis les gars, ce n'est que moi. J'ammène une petite fille dans mes quartiers"

Dit la miss, puis, elle souleva Ai pour la porter dans ses bras pour qu'elle soit à la hauteur des gardes. Ces derniers hochèrent la tête et les laissèrent rentrer. Cécilia, trouvant que la petite fille n'était pas bien lourde, traversa tout le couloir en portant la petite démoiselle. Après avoir monté un ou deux étages, la miss déposa la petite lorsqu'elle fut devant sa chambre. Elle ouvrit ensuite la porte, puis, elle fit entrer Ai à l'intérieur de la pièce. Lorsqu'elle fut dedans, Cécilia referma la porte pour qu'elles soient tranquille. La chambre était toujours aussi grande et le lit pouvait toujours acceuillir au moins cinq personnes pour dormir. Il y avait aussi toujours les quelques autres meubles pour décorer la pièce et qui étaient toujours aussi utilisés. Cécilia vint s'asseoir sur le lit et elle regarda Ai.

"Ecoute-moi bien, ce que j'ai à te dire est très important, c'est pour cette raison que je t'ai emmenée chez moi. Pour aider tes parents, je suis obligée d'agir dans l'ombre pour pouvoir mieux aider ta mère et ton village. Yuna a beaucoup d'influence sur les gens, mais elle ne le sait pas. Dans la rue, j'entend beaucoup de gens qui veulent détrôner Ishtar, mais ils ont bien trop peur d'elle pour agir, j'essaie de les secouer, mais il est très dur de les faire changer d'avis. Il faut que tu comprennes une chose que tes parents n'ont pas comprit, je n'aide pas du tout Ishtar, au contraire, plus elle m'enseigne ce qu'elle sait et plus je pourrais l'anéantir. Je suis toujours une défenseuse, mais je n'agis pas comme les autres guignols que ton père forme pour devenir de bons petits défenseurs. Non, je n'en fais qu'à ma tête et c'est en train de porter ses fruits, car dans peu de temps, je pourrais la vaincre, enfin je ne pourrais pas la détrôner, mais je pourrais déjà bien l'affaiblir. "

Cécilia se tut un instant, puis, elle changea de position et elle se remit à parler après qu'elel ait reprit son souffle.

"Tu sais Ai, l'homme est toujours très avide de pouvoir ou de territoire. Ishtar est une déesse, mais elle est comme le commun des mortels et c'est à cause de cette soif de pouvoir qu'elle veut prendre ce qu'il reste à la terre. Pourquoi est-ce que cela est mal de l'empêcher ? Et bien parce qu'il y a d'autres personnes qui pensent comme elle et qui sont d'accord avec cette déesse, c'est pour cette raison qu'ils veulent empêcher les autres être vivants de la neutraliser, car sans elle, ils ne pouraient pas obtenir ce qu'ils désirent. A leur yeux, tes parents passent pour des méchants, mais aux yeux de ceux qui veulent la paix, ce sont des véritables héros, ne l'oublie pas, c'est très important. Veux-tu que je demande aux servantes de t'apporter quelque chose à boire ou à manger ?"

Cécilia avait été très sérieuse, mais il fallait qu'elle s'occupe de sa nièce, alors c'était pour cette raison qu'elle lui avait posé cette question qui n'avait rien à voir avec le sujet de conversation.

"Il faut que ta mère continue de croire en cet avenir. Ton père ne devrais pas croire ce genre d'idioties, car ce n'est pas vrai. Tu as raison, il faut que je revienen un moment chez vous, car je dois m'occuper de Yuna, il faut la secouer un peu pour qu'elle reprenne espoir... et moi qui croyais qu'elle arriverait à se débrouiller et à continuer à avancer, je suis plutôt déçue. Y a-t-il une question à laquelle je n'ai pas répondu ? Tu en as posées beaucoup, j'espère y avoir apporté à toutes des réponses"

Cécilia se sentait importante, car c'était très rare qu'on vienne lui poser des questions où qu'on lui demande d'aiguiller quelqu'un. En y pensant, Cécilia se dit que Yuna avait bien fait de la nommer marraine.

Ai leva la tête pour voire les garde, deux homme... ou plutot deux gorilles qui gardaient l'entrée. ils était impressionnant et leurs tête n'avais rien d'accueillant... rien a voire avec les 2 joyeux lurons baraqués, amateur de saké qui gardaient l'entrée de son village. elle se contenta de laisser cécilia parler. celle ci la prit alors dans ses bras et une fois a hauteur, les 2 gorilles lui paraissaient moins impressionnant mai toujours aussi peu aimable. sa marraine la garda ensuite dans ses bras et Ai la regarda avec un petit sourire

"Cecilia... je suis un peu grande maintenant... non ?"

mais on sentait tout de même que cela ne la gênait pas, au contraire, elle se rappelait des tas de bons souvenirs. elle regarda alors la chambre. celle ci était encore plus grande que le salon de sa maison. tout était démesuré...

*si Zeiki était la il serait servit... lui pour qui tout est trop grand*

cette pensée lui traversa l'esprit au moment ou elel vit le lit immense, qui n'aurait même pas pu entrer dans sa chambre a elle. elle écouta ensuite Cécilia et resta bouche bée, les yeux ronds comme des soucoupes

"tu... tu veux en quelque sorte trahir Ishtar ?"

dit-elle tout doucement n'en croyant pas ses oreilles... en même temps, Ai se sentait le coeur plus léger: sa chère marraine n'avais pas changer de camps, elle avais juste fait semblant

"je le garderait pour moi... je ne dirait rien a papa et a maman si tu veux. mais c'est comme si j'avais toujours su que tu ne les avais pas trahis. je ne sais pas pourquoi, je le savais au fond de moi"

au moins, les risques qu'elle avais prit en venant a Uruk en valait la peine et Ai était fière d'elle. elle sourit ensuite a Cécilia

"alors... ça te dis de venir a la maison ?"

ele reflechit un moment avant de répondre a la proposition de Cécilia

"je veux bien un chocolat chaud... avec des gâteaux s'il te plait"

elle n'y avais pas penser jusqu'à maintenant mais a présent que Cécilia en parlait, elle du se rendre a l'évidence: elle était partit sans rien manger et elle avait faim

Cécilia se leva du lit, puis, elle alla appeller les serviteurs qu'Ishtar avait mit à sa disposition. Quelques minutes plus tard, deux femmes apportèrent une grande assiette pour la petite et un chocolat chaud, comme elle l'avait demandé. Elles s'approcèrent de la gamine et elles posèrent le tout devant elle.

Servante 1 : Tu es très mignonne, comment tu t'appelles mon coeur ?

Servante 2 : C'est votre fille dame Cécilia ?

Servgante 1 : En tout cas, nous on veut bien s'en occuper si vous n'en avez pas le temps...

"Bon c'est pas bientôt fini ? Non ce n'est pas ma fille, c'est ma nièce, je suis sa marraine et si on vous voit vous occupez d'une gamine, elle va sûrement finir comme vous et c'est ce que je ne veuv pas. Elle s'appelle Ai !

Servante 1 et 2 : Ohhhh c'est mignon comme prénom !!!

Servante 1 : Faut pourtant pas vous en faire, on ne va pas la manger la petite puce...

Puis, elles repartirent en riant comme deux folles. Lorsqu'elles eurent refermé la porte, Cécilia soupira, puis, elle se retourna pour faire face à la petite fille.

"Ne t'en fais pas, elles ne sont pas méchantes, mais elles aiment bien m'embêter pour s'amuser un peu, ce qui est compréhensible puisqu'elles doivent servirent du matin jusqu'au soir, faut bien qu'elles rigoles un peu. Sinon je ne sais pas pour Ishtar, je dois dire que même si j'ai presque toutes les cartes en mains pour le faire, j'hésite encore. Tu sais Ai, quand j'ai rencontré ta mère, j'étais complétement perdue et elle m'a rammené sur le droit chemin. Je suis devenue une adepte du bien et à présent que je suis avec Ishtar, je suis devenue neutre, car j'ai du mal à faire du mal aux deux camps, alors, il faut encore que je réfléchisse"

La miss s'assit sur le lit et se disant que la petite n'arriverait pas à terminer l'assiette, la demoiselle se dit aussi qu'elle pouvait lui prendre un biscuit, alors c'est ce qu'elle fit et à vrai dire, elle commençait à avoir une petite faim. En croquant dans le biscuit, elle eut l'impression d'être au septième ciel. C'était la première fois qu'elle en mangeait à Uruk et elle ne pensait pas qu'ils étaient aussi bons. Lorsqu'elle eut fini d'engloutir son biscuit, elle se remit à parler.

"Sinon je pense que oui. J'ai entendu dire qu'il y avait un nouvel habitant chez vous. C'est Yuna tout craché ça, elle ne peut s'empêcher d'acceuillir toutes les âmes errantes chez elle"

Dit Cécilia en souriant, car elle venait de repenser au jour où elle avait recceuillit tout le monde un soir de tempête et même les méchants avaient pu y entrer pour se protèger. Ils avaient passé un bon moment malgré qu'en ce temps-la elle avait retrouvé le corps de ses cinq ans.

Ai regarda les servantes sans rien dire, et ne prit pas la pêne de répondre a leurs question. elle était venu ici pour retrouver sa marraine, elle se fichait bien des compliments des servantes, qui étaient certe bien gentille mais un peu trop curieuses a son gout. lorsque les servantes partirent en riant, la jeune fille ne pu s'empêcher de tirer la langue:

"bbeueeuuhhhh!"

elle ne manqua pas d'ajouter un beau pied de nez, rendant la scène on ne peut plus comique. réaction puéril ? et alors ? était-ce parce qu'elle se trouvait dans un palais qu'elle devait se comporter comme une mignonne petite poupée? il n'en était pas question. et puis ce qu'elle faisait n'était pas méchant non plus... elle répondit alors a Cécilia, se demandant comment celle ci avait pu être au courant pour le nouveau pensionnaire, mais lui répondit quand même

"oui... c'est Zeiki. mais il ne prend pas vraiment beaucoup de place. il est pas plus grand que ça"

dit-elle en mettant ses doigts a une quinzaine de centimètre l'un de l'autre. Cécilia la croyait-elle lorsqu'elle insinuait que le "nouveau pensionnaire" tenait dans le creux de sa main? elle prit ensuite un biscuit qu'elle enfourna, car gourmande comme elle était, elle n'avais pas pu résister. une fois qu'elle eut avaler ce qu'il lui restait dans la bouche, elle donna son avis, surement peu objectif aux yeux de sa marraine mais pourtant sur et définitif:

"ce ne sont pas ceux de maman."

elle regarda alors par la fenêtre, on y voyait la ville d'Uruk, puis le désert qui s'étendait a perte de vue. pas de montagne et encore moins de neige...

"moi je ne sais pas si j'aimerai vivre ici... j'ai l'habitude de voire les montagnes en me réveillant le matin. en ce moment, elle sont couvertes de neige qui brille au soleil sur le ciel bleu... il fait encore beau la haut. en fait, ça dépends des jours. mais il n'y a pas encore eut une seule tempête"

Ai parlait des montagnes avec une étonnante mélancolie, comme si elle avais peur un jour de ne plus les voire. la description qu'elle venait de faire rappellerait surement de bons souvenirs a Cécilia. elle détourna le regard de la fenêtre et commença doucement a boire son chocolat chaud

"en tous cas, merci de m'accueillir ici, dans tes appartements. ce n'est pas ma maison mais c'est joli quand même. et puis a defaut de neige, tu as du sable..."

*qui rentre dans les chaussures et qui gratte les pieds*

ne pu-elle s'empêcher de penser malgré elle. non vraiment le dessert, ce n'était pas pour elle, mais elle ne voulait pas risquer de blesser Cécilia qui semblait tant s'y plaire. elle garda donc ce détail pour elle et continua de boire son chocolat

Cécilia, en voyant la petite tirer la langue et faire le pied-de-nez, elle ne pu qu'en rigoler. Ensuite, elle écouta Ai lui parler de Zeiki et elle écarquilla les yeux en regardant la dimension que lui montrait la gamine. Ils étaient tous fou ou quoi ? Un petit homme, ça n'existe que dans les contes de fées, enfin normalement et en réfléchissant, la miss se dit que peut-être c'était la vérité.

"Quand Yûki m'en avait parlé, j'ai cru qu'il était devenu dingue, mais il avait raison... tu dois sûrement qui est Yûki et c'est tout à fait compréhensible. C'est un jeune garçon de ton village et à présent, je ne sais plus quel âge il a, mais c'est un disciple que ton père à entrainé. Un jour, on a du combattre ensemble et depuis, on ne s'est plus quitté, il est devenu mon coéquipier, si j'ai besoin de lui, il accours sans se poser de questions. Je lui ais demandé de veiller sur toi en mon absence et de m'écrire de tes nouvelles, c'est pour cela que j'ai su pour... comment déjà ? Ah oui ! Zeiki !"

Ensuite, elle sourit lorsque la petite croqua dans le buiscuit et donna par la suite son avis sur la nourriture. Son verdict était prévisible et Cécilia ne dit rien, mais elle n'en pensa pas moins. Quelques minutes plus tard, la fillette lui parla de la neige et du sable et des souvenirs revinrent dans la tête de la combatante. Ces souvenirs étaient tellement fort que des larmes coulèrent de ses deux yeux. Bien qu'elle n'avait pos osé le dire, le lieu où elle y avait passé les meilleurs moment de sa vie lui manquait énormément. L'adulte baissa la tête et elle tenta de s'essuyer les yeux, mais l'eau salée ne voulait pas s'arrêter aussi facilement que prévu.

"Tu as de la chance, tu n'es encore qu'une enfant, tu n'as pas besoin de sauver la terre... j'aime beaucoup ce lieu, mais à vrai dire, la montagne me manque un peu. J'ai fais un choix et je le respecterais jusqu'au bout, mais voir ton monde ne sera pas une mauvaise chose et si Peter est là, ce n'est pas grave. Quand, tu auras fini ton chocolat, on partira"

C'était radical, mais au moins, la petite était avertie et elle ne serais pas surprise de vite revoir ses montagnes natales. Cécilia préferait que son séjour soit cours, car elle ne voulait pas qu'il lui arrive malheur, car sinon, Yuna lui en voudrait éternellement.

"Yûki ? oui je le connais. il arrête pas de parler de toi, on dirait qu'il est amoureux... c'est lui qui m'a dit que tu était ici. il m'a interdit de venir bien sure, tout comme mes parents. mais j'ai fait le mur et je suis venu quand même"

Ai vit l'air triste de sa marraine lorsqu'elle parla de la neige en montagne. celle ci était bel et bien en train de pleurer. le pays lui manquait tout de même et la jeune fille fut ravis que Cécilia accepte son invitation. c'est après un sourire rayonnant que Ai but d'une traite son chocolat et qu'elle se leva

"on peut y aller! maintenant!"

dit-elle tout excité en attendant la réponse de s marraine, se tenant prête a partir. elle laissa cécilia passer devant car elle se sentait perdu entres ses immenses murs et ses couloirs interminables